Suite au Ti Kozam du jour d’Yves Mont-Rouge, Alexis Chaussalet réagit aux révélations concernant le député Joseph RIVIÈRE
« Les récentes révélations concernant les pratiques du député Joseph RIVIÈRE, publiées dans un article de d’Yves Mont-Rouge, mettent en lumière des comportements inacceptables et contraires à la probité et à l’éthique attendues d’un représentant de la République.
L’article expose des accusations graves, portant non seulement sur des propos et des comportements indignes, mais aussi sur de possibles abus dans l’utilisation des fonds publics liés aux frais de mandat. Ces révélations suscitent une légitime indignation et interrogent sur l’utilisation des deniers publics, destinés à servir les citoyens et non à des intérêts personnels ou opaques.
Je demande à Joseph RIVIÈRE de s’expliquer publiquement et en toute transparence sur les faits qui lui sont reprochés. Il doit répondre aux accusations relatives à l’utilisation de ses frais de mandat, ainsi qu’aux pratiques dénoncées dans son entourage. Le silence ou l’esquive ne peuvent être tolérés face à des soupçons aussi graves.
De telles révélations portent atteinte à la confiance que les citoyens placent en leurs élus.
Dans un contexte où la transparence et la responsabilité publique doivent être des priorités absolues, il est impératif que toute la lumière soit faite sur ces agissements.
Le devoir des élus est d’être au service du peuple, avec exemplarité et intégrité. Toute défaillance dans ces principes doit être fermement dénoncée et corrigée.
Je demande également aux autorités compétentes de se saisir de ce dossier afin d’enquêter sur les éventuels détournements de fonds publics ou abus de pouvoir, et de prendre les mesures nécessaires en cas de confirmation des faits.
Enfin, j’en appelle aux citoyens à rester mobilisés et vigilants pour défendre les valeurs de transparence, de justice et de respect qui doivent guider l’action publique. La démocratie ne peut prospérer dans l’ombre ni sous le poids des soupçons.
Nous exigeons des réponses, et nous les exigeons maintenant. »