Ce samedi 8 juillet, le PEPS (Parti Ensemb Plus Solidaires) a organisé une réunion d’information consacrée au bilan de notre action départementale et de la gestion municipale de Saint-André. Plus de 200 personnes ont assisté cette réunion du PEPS. En 1 an le PEPS ancré sur la ville de Saint-André a dépassé la barre des 700 adhérents.
Jean-Marie Virapoullé, son président, a présenté dans un premier temps le bilan de son action et celle de Viviane Ben-Hamida au Département où ils mènent une politique ambitieuse et innovante en matière de solidarité au sein de la majorité. ‘C’est ainsi que récemment nous avons mis en place une bourse d’heures pour permettre la prise en charge de garde de nuit en faveur des personnes âgées malades », indique le président du parti dans un communiqué.
« Nous avons également renforcé l’insertion des publics bénéficiaires du RSA grâce au dispositif R+. Plus de 9 000 personnes bénéficient du R+ ce qui contribue à faire reculer le chômage à la Réunion.
Enfin, la réalisation des certificats de décès par les infirmiers, validée par le ministère de la santé deviendra bientôt une réalité et soulagera les familles réunionnaises suite à l’action menée par le Département.
Nous avons également fait le bilan de la gestion municipale calamiteuse de Joé Bédier. Saint-André va droit « dans le précipice » financier avec l’explosion du train de vie de la commune, l’inscription d’une recette fictive de 600 000 euros inscrite dans les comptes de la ville, me conduisant à alerter le Préfet.
Saint-André détient aussi le triste record départemental du nombre de congés d’arrêt maladie concernant le personnel communal : les employés de la ville sont en détresse. Saint-André est devenue une ville Far-West où le taux de délinquance a progressé de 17,6% entre 2021 et 2022. La situation s’est aggravée en 2023 où notre commune fait la une de faits-divers dramatiques.
Saint-André est marquée par une gestion catastrophique des travaux communaux avec de nombreuses malfaçons, des retards dans les réalisations conduisant à un coma circulatoire et économique de notre centre-ville. Les commerçants de notre ville meurent à petit feux.
Saint-André est la ville du scandale sanitaire de l’amiante. En effet, la mairie de Saint-André a caché le rapport du bureau d’étude Socotec révélant la présence de l’amiante bien avant le démarrage des travaux de l’avenue de Bourbon. Cela a conduit à la mise en danger des ouvriers mais aussi des riverains, en particulier les enfants de l’école maternelle située à proximité de ce chantier.
A mi-mandat municipal, le PEPS alerte la population, dénonce les carences et les fautes commises par le maire actuel de Saint-André. Saint-André va droit « dans le précipice ».
Le PEPS est une force de rassemblement pour préparer l’alternance à Saint-André. Nous résistons aujourd’hui pour libérer Saint-André en 2026. Nou tiembo nou larg pas ! »